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Hommage à Noël Roquevert

Malgrès ses nombreux rôles sur les planches, les 180 films auxquels il a prêté son concours, Noël Roquevert n'a jamais été une "vedette". Pourtant, son nom et son visage sont connus de tous. Sans doute les metteurs en scène le confinaient-ils à des rôles de militaires, policiers, maniaques ou concierges. Comique, cynique ou antipathique, il apportait à ses personnages sa gouaille, sa fraicheur, sa fougue, sa nature. Sous les traits de badernes ou de ganaches, il devint le symbole du pète-sec, du râleur impenitent.

"Un comédien-né" disait de lui Sacha Guitry.

  • L’assassin habite au 21

Fiction – 1942 – 1h25 – 35 mm – N&Bl

Réalisation : CLOUZOT Henri Georges

  • Duguesclin

Fiction – 1949 – 1h40 – 16 mm – Couleur

Réalisation : DE LATOUR Bernard

  • Le Corbeau

Fiction – 1943 – 1h25 – 35 mm – N&Bl

Réalisation : Henri-Georges CLOUZOT

  • Fanfan la tulipe

Fiction – 1951 – 1h35 – 35 mm – N&Bl

Réalisation : Christian-Jaque

  • Antoine et Antoinette

Fiction – 1947 – 1h35 – 16 mm – N&Bl

Réalisation : Jacques BECKER

  • Snobs

Fiction – 1961 – 1h20 – 35 mm – N&Bl

Réalisation : Jean-Pierre MOCKY